[article]
Titre : |
Faire droit au vivant |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Catherine Larrère, Auteur |
Editeur : |
Pour la Science, 2018 |
Article : |
p.103-106 |
Note générale : |
Bibliographie. |
Langues : |
Français (fre) |
in Pour la science. Hors-série > 101 (11/2018)
Descripteurs : |
droit / écologie humaine
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Résumé : |
Examen de la question du statut juridique de la nature et du vivant prenant comme point de départ les arguments du professeur de droit Christopher Stone, qui, en Californie en 1972, a réussi à sauver une forêt de séquoias qu'un projet de Walt Disney allait détruire. Analyse des réactions négatives que l'article de C. Stone provoqua en France. Limites de l'arsenal juridique et réglementaire pour sauvegarder la biodiversité. Conditions pour qu'un être soit considéré comme un sujet de droit et pour définir un préjudice écologique. Exemples de pays qui ont inscrit les droits de la nature dans leur constitution. Réflexion sur l'idée à privilégier d'une défense des écosystèmes, afin de prendre en compte les interactions de l'homme et du végétal et pour fonder la protection de la nature sur les relations. |
Nature du document : |
documentaire |
Genre : |
Article de périodique |
[article]
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Faire droit au vivant
de Catherine Larrère
In Pour la science. Hors-série, 101 (11/2018), p.103-106
Examen de la question du statut juridique de la nature et du vivant prenant comme point de départ les arguments du professeur de droit Christopher Stone, qui, en Californie en 1972, a réussi à sauver une forêt de séquoias qu'un projet de Walt Disney allait détruire. Analyse des réactions négatives que l'article de C. Stone provoqua en France. Limites de l'arsenal juridique et réglementaire pour sauvegarder la biodiversité. Conditions pour qu'un être soit considéré comme un sujet de droit et pour définir un préjudice écologique. Exemples de pays qui ont inscrit les droits de la nature dans leur constitution. Réflexion sur l'idée à privilégier d'une défense des écosystèmes, afin de prendre en compte les interactions de l'homme et du végétal et pour fonder la protection de la nature sur les relations.
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