[article]
Titre : |
La crise, carburant de l'extrême droite brésilienne |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Claire Gatinois, Auteur |
Editeur : |
Le Monde Editions, 2018 |
Article : |
p.6 |
Langues : |
Français (fre) |
in Le Monde. Sélection hebdomadaire > 3649 (13/10/2018)
Descripteurs : |
Brésil / crise économique / élection présidentielle
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Mots-clés : |
extrême droite : politique |
Résumé : |
Un point sur l'impact de la crise économique de 2015 sur la montée de l'extrême droite au Brésil en 2018 : des exemples des conséquences de la récession économique sur le quotidien des Brésiliens ; les intentions de vote, lors du premier tour de l'élection présidentielle en octobre, très favorables à Jair Bolsonaro, le candidat d'extrême droite ; l'ampleur de la pauvreté ; l'espoir déçu après la destitution de Dilma Rousseff en 2016, considérée comme responsable des difficultés économiques du pays ; les désillusions avec son successeur Michel Termer ; le soutien des marchés financiers et d'entrepreneurs locaux à Jair Bolsonaro ; son programme économique ; la méfiance des investisseurs envers son adversaire Fernando Haddad, membre du Parti des travailleurs (PT) ; les interrogations sur la possibilité pour Jair Bolsonaro de faire accepter et appliquer son programme mêlant privatisations et austérité. |
Nature du document : |
documentaire |
Genre : |
Article de périodique |
[article]
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La crise, carburant de l'extrême droite brésilienne
de Claire Gatinois
In Le Monde. Sélection hebdomadaire, 3649 (13/10/2018), p.6
Un point sur l'impact de la crise économique de 2015 sur la montée de l'extrême droite au Brésil en 2018 : des exemples des conséquences de la récession économique sur le quotidien des Brésiliens ; les intentions de vote, lors du premier tour de l'élection présidentielle en octobre, très favorables à Jair Bolsonaro, le candidat d'extrême droite ; l'ampleur de la pauvreté ; l'espoir déçu après la destitution de Dilma Rousseff en 2016, considérée comme responsable des difficultés économiques du pays ; les désillusions avec son successeur Michel Termer ; le soutien des marchés financiers et d'entrepreneurs locaux à Jair Bolsonaro ; son programme économique ; la méfiance des investisseurs envers son adversaire Fernando Haddad, membre du Parti des travailleurs (PT) ; les interrogations sur la possibilité pour Jair Bolsonaro de faire accepter et appliquer son programme mêlant privatisations et austérité.
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