Titre de série : |
Paroles de poilus 1914-1918, 2 |
Titre : |
Mon papa en guerre |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Jean-Pierre Guéno, Auteur |
Editeur : |
Soleil, 2012 |
Description : |
96 p. |
ISBN/ISSN : |
978-2-302-02380-2 |
Prix : |
19,99 euros |
Descripteurs : |
guerre mondiale : 1914-1918
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Résumé : |
Quand éclate la première guerre mondiale, il y a 4 millions de poilus dans les tranchées et 4 millions et demi d'enfants sur les bancs des écoles primaires de la république. La plupart des soldats de 14-18 ont entre 18 et 23 ans ; ils ne sont pas sortis de l'école depuis si longtemps. Beaucoup parmi eux n'auront jamais la chance d'écrire à d'autres femmes qu'à leur mère. Pour les autres, ceux qui ont 30 ou 40 ans, la guerre est d'autant plus cruelle qu'elle les sépare de leurs femmes et de leurs enfants, que certains n'ont même pas vu naître. De leur côté, les enfants dessinent et griffonnent. Ils s'appliquent sans doute, en tirant la langue, à moins que leurs mères ne leur tiennent la main. Ils déposent leur écriture maladroite à la plume Sergent-major sur des cartes, dans des lettres, dans des cahiers d'écoliers transformés en journaux intimes. Lorsqu'ils écrivent à leurs enfants, les paroles de Poilus sont des paroles de paix, des paroles d'amour, des paroles d'humanité qui, malheureusement n'empêcheront pas le bégaiement de l'Histoire... |
Nature du document : |
fiction |
Thème de fiction : |
guerre |
Genre : |
bande dessinée |
Niveau : |
Collège |
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Paroles de poilus 1914-1918, 2. Mon papa en guerre
de Jean-Pierre Guéno
Soleil, 2012, 96 p.
Quand éclate la première guerre mondiale, il y a 4 millions de poilus dans les tranchées et 4 millions et demi d'enfants sur les bancs des écoles primaires de la république. La plupart des soldats de 14-18 ont entre 18 et 23 ans ; ils ne sont pas sortis de l'école depuis si longtemps. Beaucoup parmi eux n'auront jamais la chance d'écrire à d'autres femmes qu'à leur mère. Pour les autres, ceux qui ont 30 ou 40 ans, la guerre est d'autant plus cruelle qu'elle les sépare de leurs femmes et de leurs enfants, que certains n'ont même pas vu naître. De leur côté, les enfants dessinent et griffonnent. Ils s'appliquent sans doute, en tirant la langue, à moins que leurs mères ne leur tiennent la main. Ils déposent leur écriture maladroite à la plume Sergent-major sur des cartes, dans des lettres, dans des cahiers d'écoliers transformés en journaux intimes. Lorsqu'ils écrivent à leurs enfants, les paroles de Poilus sont des paroles de paix, des paroles d'amour, des paroles d'humanité qui, malheureusement n'empêcheront pas le bégaiement de l'Histoire...
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