[article]
Titre : |
L'étonnante plasticité du cerveau adolescent |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Jay Giedd, Auteur |
Editeur : |
Pour la Science, 2015 |
Article : |
p.44-50 |
Note générale : |
Bibliographie. |
Langues : |
Français (fre) |
in Pour la science > 456 (10/2015)
Descripteurs : |
adolescence / processus cognitif
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Mots-clés : |
cerveau (organe) comportement à risque |
Résumé : |
Le point sur les diverses transformations du cerveau à l'adolescence mises en avant par des études scientifiques utilisant l'Imagerie par Résonance Magnétique (IRM). La très grande plasticité du cerveau des adolescents : une hausse de la myéline (ou matière blanche) permettant une amélioration des connexions cérébrales, des capacités cognitives renforcées ; une diminution de la matière grise résultant de l'élimination des connexions cérébrales non utilisées. Un processus qui ne se passe pas en même temps dans toutes les zones du cerveau : l'antériorité du développement du système limbique (qui engendre les émotions et la recherche de récompense) par rapport à celui du cortex préfrontal (qui intervient dans la régulation des émotions, la prise de décision et l'évaluation des risques) ; les conséquences de cette évolution sur le comportement des adolescents. L'intérêt de mieux connaître le cerveau des adolescents pour lutter contre certaines pathologies et mieux exploiter sa grande plasticité. |
Nature du document : |
documentaire |
Genre : |
Article de périodique |
[article]
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L'étonnante plasticité du cerveau adolescent
de Jay Giedd
In Pour la science, 456 (10/2015), p.44-50
Le point sur les diverses transformations du cerveau à l'adolescence mises en avant par des études scientifiques utilisant l'Imagerie par Résonance Magnétique (IRM). La très grande plasticité du cerveau des adolescents : une hausse de la myéline (ou matière blanche) permettant une amélioration des connexions cérébrales, des capacités cognitives renforcées ; une diminution de la matière grise résultant de l'élimination des connexions cérébrales non utilisées. Un processus qui ne se passe pas en même temps dans toutes les zones du cerveau : l'antériorité du développement du système limbique (qui engendre les émotions et la recherche de récompense) par rapport à celui du cortex préfrontal (qui intervient dans la régulation des émotions, la prise de décision et l'évaluation des risques) ; les conséquences de cette évolution sur le comportement des adolescents. L'intérêt de mieux connaître le cerveau des adolescents pour lutter contre certaines pathologies et mieux exploiter sa grande plasticité.
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