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Aux origines génétiques de l'obésité / Richard Johnson / Pour la Science (2016) in Pour la science, 467 (09/2016)
[article]
Titre : Aux origines génétiques de l'obésité Type de document : texte imprimé Auteurs : Richard Johnson, Auteur ; Peter Andrews, Auteur Editeur : Pour la Science, 2016 Article : p.42-49 Note générale : Bibliographie. Langues : Français (fre)
in Pour la science > 467 (09/2016)Descripteurs : gène : biologie / obésité Résumé : Le point sur les recherches scientifiques concernant l'identification du gène responsable de l'obésité. La théorie avancée par le généticien James Neel en 1962 sur l'existence d'un "gène d'épargne", favorisant le stockage de graisses, et qui aurait permis aux hominidés de résister à des disettes sévères. Une théorie réexaminée : ce gène d'épargne proviendrait des grands singes ancêtres des hominidés, une mutation génétique leur aurait permis de survivre aux famines provoquées par le refroidissement climatique, une mutation génétique transmise aux descendants de ces hominoïdes et donc aux premiers hommes. L'identification du gène d'épargne : il s'agirait du gène codant l'enzyme uricase, explication des processus métaboliques en jeu, une hypothèse qui n'est pas encore prouvée. La nécessité de réduire la consommation de fructose pour lutter contre l'obésité et le diabète. Nature du document : documentaire Genre : Article de périodique [article]
Aux origines génétiques de l'obésité
de Richard Johnson, Peter Andrews
In Pour la science, 467 (09/2016), p.42-49
Le point sur les recherches scientifiques concernant l'identification du gène responsable de l'obésité. La théorie avancée par le généticien James Neel en 1962 sur l'existence d'un "gène d'épargne", favorisant le stockage de graisses, et qui aurait permis aux hominidés de résister à des disettes sévères. Une théorie réexaminée : ce gène d'épargne proviendrait des grands singes ancêtres des hominidés, une mutation génétique leur aurait permis de survivre aux famines provoquées par le refroidissement climatique, une mutation génétique transmise aux descendants de ces hominoïdes et donc aux premiers hommes. L'identification du gène d'épargne : il s'agirait du gène codant l'enzyme uricase, explication des processus métaboliques en jeu, une hypothèse qui n'est pas encore prouvée. La nécessité de réduire la consommation de fructose pour lutter contre l'obésité et le diabète.Réservation
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