[article]
Titre : |
Préférons-nous la santé à la liberté ? |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Martin Legros, Auteur |
Editeur : |
Philo éditions, 2020 |
Article : |
p.8-13 |
Langues : |
Français (fre) |
in Philosophie magazine > 139 (05/2020)
Descripteurs : |
épidémie / maladie virale / morale / prophylaxie
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Résumé : |
Dialogue contradictoire entre les philosophes André Comte-Sponville et Francis Wolff, sur la nécessité du confinement face au Covid-19, examinée du point de vue de la raison et de l'éthique : pour le premier, philosophe matérialiste athée, le confinement est considéré comme un risque pour les libertés individuelles et une situation néfaste économiquement, principalement pour les jeunes ; pour F. Wolff, la réaction collective face au Covid est un progrès politique et moral. Débat faisant apparaître deux attitudes éthiques : l'attitude conséquentialiste et l'attitude déontologique, privilégiée pendant la crise du Covid, en raison de la mondialisation. Critique, par Comte-Sponville, de l'idéologie du "pan-médicalisme" faisant de la santé une valeur suprême, confondant ainsi bien et valeur. |
Nature du document : |
documentaire |
Genre : |
Article de périodique/Entretien, interview |
[article]
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Préférons-nous la santé à la liberté ?
de Martin Legros
In Philosophie magazine, 139 (05/2020), p.8-13
Dialogue contradictoire entre les philosophes André Comte-Sponville et Francis Wolff, sur la nécessité du confinement face au Covid-19, examinée du point de vue de la raison et de l'éthique : pour le premier, philosophe matérialiste athée, le confinement est considéré comme un risque pour les libertés individuelles et une situation néfaste économiquement, principalement pour les jeunes ; pour F. Wolff, la réaction collective face au Covid est un progrès politique et moral. Débat faisant apparaître deux attitudes éthiques : l'attitude conséquentialiste et l'attitude déontologique, privilégiée pendant la crise du Covid, en raison de la mondialisation. Critique, par Comte-Sponville, de l'idéologie du "pan-médicalisme" faisant de la santé une valeur suprême, confondant ainsi bien et valeur.
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